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30 mars 2020

➡️Pourquoi j’ai cessez de donner des Soins de Thérapies✨𝓢𝓲𝓶𝓮𝓻𝓲𝓪

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    A plusieurs reprises, je me suis installé comme Thérapeute Énergéticien. Parfois sous la pression de certaines personnes. La première fois j’ai arrêté, car sans vraiment me l’expliquer, je sentais que quelque chose n’allé pas, sans savoir si cela venait ou pas de moi.

   Quelques années plus-tard, sous la pressions d’ami(es) je relançais mon activité. Car oui, je sais que j’ai la capacité d’aider les personnes. Je ne m’étalerai pas ici sur mes compétences sur n’est pas le propos de ce que je souhaite évoquer. Je me suis donc remis(e) à cette activité. Au début cela se passait plutôt bien. Cela allait de la simple réparation d’Aura et de l’harmonisation, à des analyses plus profondes au travers les mémoires transgénérationnelles et Karmiques. Rapidement, je me suis retrouvé face à une frange de personnes; qui venaient me voir comme ils vont voir un médecin et attendent qu’on leur donne une pilules magiques, et ils n’ont plus mal. En sommes c’est s’attaquer aux conséquences mais jamais à la causes de la maladies (Le Mal a dit). Dans ce cas présent se sont des personnes qui, dès l’instant ou il faut faire un travail sur eux-mêmes, aller voir en eux-mêmes, disparaissent de la circulation et arrêtent toutes thérapies. Et bien oui cela demande du temps, et une démarche totalement engagé vers soi, pour aller voir ses zones d’ombres.

   Il existe une autre frange de personnes, qui sont des accros aux thérapies, comme l’on peut-être accros à certaines substances. Ce sont des personnes qui ne sortent jamais de la thérapie. Comme si ils leur fallait constamment trouver des choses qui ne vont pas, et rarement en ressortant totalement satisfait. Souvent ses personnes sont en quêtes d’un sauveur, une forme de dépendance en leur thérapeute, pour le plus grand bénéfice des thérapeutes peu scrupuleux, dont certain créeront une dépendances chez leur patient afin qu’eux-mêmes puissent vivre de cette dépendance qu’ils auront consciemment ou inconsciemment créés.

   Dans un premier temps j’ai essayé de m’en tenir au rapport stricte de la chirurgie Aurique et à la ré-harmonisation. Mais que dire, lorsque votre patient commence à vous posez des questions sur le pourquoi j’ai telles fissures dans l’Aura ? Pourquoi mon corps, mes chakras sont si bloqués ou déséquilibrés ? Il faut bien à un moment leur expliquer les racines probables des maux. Une question en amenant une autre, le champs d’investigation s’élargit. Et on a plus le choix que d’aller à la racines des dit maux.

   Dans mon approche de la thérapie on ne peut séparer le corps physique, des corps énergétiques, du corps émotionnel, et la psyché. C’est pour cela que l’appel cela des thérapies holistiques. C’est prendre en charge le patient dans sa globalité, et non en privilégient une partie au détriment des autres parties. Cela n’est d’ailleurs pas rare de voir des patients qui suivent plusieurs thérapies en simultanées et des thérapeutes dans divers catégories.

   Je fus donc confronté(e) à un problème d’ éthique et d’intégrité. Tout d’abord vis-à-vis de moi-même, mais aussi vis-à-vis des mes patients.

Lorsque l’on est dans une activité professionnelle, c’est un statut, qui doit nous permettre d’en vivre par ce moyen que l’on nome l’argent. Payer ses charges, pouvoir payer ses factures….

Faudrait-il que je fasse en sorte de garder la fidélisation de mes patients, par n’importe quels moyens que ce soient? Devrai-je me cantonner juste à un aspect de la thérapie en esquivant les questions plus larges ?

Comme je l’ai précédemment expliqué dès l’instant ou l’on touche à la sphère énergétique on ne peut se contenter de réponses sommaires car cela touche tout les aspects de l’être.

Alors entre ceux/celles qui cherchent un saveur, ceux/celles qui sont accros aux thérapies masquant un problème plus profonds, mon intégrité professionnelle et mon éthique furent durement mis à mal.

Bien entendu tout ces cas ne sont pas une généralité, il existe également des patients qui font un remarquable travail sur eux-mêmes et comprennent que je ne suis qu’un « Médium » pour accéder par eux-mêmes à leur propre guérison, mais ils sont finalement assez rare.

    J’ai donc arrêté d’officier en tant que professionnel, du moins temps que les personnes resterons dans une forme de triangle de Karpmann bien encré et institutionnalisé. Car amener les personnes à leur propre autonomie, la responsabilité d’eux-mêmes et de leur guérison, ne fonctionne tout simplement pas dans notre société telle quelle l’est encore aujourd’hui. Cela ne rapporte pas !

    Il est bien ici le problème ! L’ attitude des personnes, des patients n’est qu’une conséquence d’un mal bien plus grand. Soigner véritablement les causes et rendre autonome cela ne rapportent tout simplement pas!

Bon nombres de thérapeutes ne sont pas aussi intègre que je peux l’être. Cela ne signifie pas qu’ils soient mauvais dans leur pratique, cela signifie simplement qu’ils manquent d’intégrité et d’éthique. Déjà vis-à-vis d’eux-mêmes, cela a donc une répercussion sur leurs patients.

J’en veux pour preuve une des dernières déclarations de Goldman Sachs, qui dans un rapport de 2018 disait « Guérir les maladies n’est pas bon pour le capital ». Dernièrement on voit fleurir ces personnes et des sites qui proposent sous couvert de méditation mondiale de faire payer l’accès à des groupes de méditations. Cela revient à faire payer l’accès à la spiritualité individuelle. Une marchandisation de la conscience. La conscience de créer la réalité, sa propre réalité. Faire payer le droit d’avoir un esprit une spiritualité.

    Voilà pour j’ai prit cette décision de ne plus exercer en tant que professionnelle tant que le système, cette matrice sociale restera dans l’état. Néanmoins elle ne le restera pas toujours, et cela arrive bientôt. Avec les temps actuels de plus en plus de choses se révèlent, ces temps de confinement ramènent les gens face à eux-même et leur mal-être profond, que l’on aura crée chez eux, et également qu’ils auront eux-mêmes entretenu par effet de mimétisme de masse.

Comme le disait Krishnamurti : « Ce n’est pas un signe de bonne santé mentale, que d’être bien intégré à une société profondément malade ».

 

Simeria

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